Département de Médecine Dentaire
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Item ACCROISSEMENT GINGIVAL : ÉTUDE CLINIQUE ET ÉPIDEMIOLOGIQUE(UNIVERSITÉ MOULOUD MAMMERI TIZI OUZOU FACULTÉ DE MÉDECINE, 2017-09-05) ZIANE, YOUCEF; ZIANE, NAIMA; SADI-ALI, SOUMIAL’Accroissement Gingival (AG) est le terme actuellement retenu pour décrire une augmentation de la taille de la gencive, il regroupe toutes les entités cliniques indépendamment de leur étiologie.Cette pathologie relativement courante, pouvant toucher les adultes comme les enfants, occasionne des problèmes esthétiques et fonctionnels (douleur, difficulté à la mastication, retard d’éruption dentaire), ce qui amène le patient à consulter. L’accroissement gingival peut être classé selon les facteurs étiologiques et les changements pathologiques, selon la localisation et la distribution. Sur la base de l’étiopathogénie l’accroissement peut être inflammatoire, induit par des médicaments, associé à des maladies systémiques et/ou à des états physiopathologiques, idiopathique, néoplasique et faux accroissement. Sur la base de la localisation, il est dit marginal, papillaire ou diffus. Sur la base des connaissances existantes et de l'expérience clinique, un diagnostic différentiel peut être formulé. Par la suite, après une enquête approfondie, le clinicien effectue un diagnostic final ou un diagnostic d'exclusion. Un diagnostic parfait est d'une importance critique, car la prise en charge de ces lésions et la prévention de leur récidive en dépend complètement. En outre, dans certains cas où l'accroissement gingival pourrait être le signe principal de maladies systémiques potentiellement létales, un diagnostic correct de cet accroissement pourrait améliorer la qualité de vie du patient ou au moins initier un traitement précoce.Le traitement de cette pathologie repose sur le contrôle de la plaque, l’assainissement parodontal et éventuellement l’antibiothérapie systémique (AG induit par les médicaments) et le traitement chirurgical qui consiste en l’excision du tissu excédentaire par gingivectomie/gingivoplastie.Item ACCROISSEMENT GINGIVAL INDUIT PAR LES MEDICAMENTS(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2022-07-06) AMARA, Milissa; BETTIOUI, Warda Rania; BOURSSOUTI, Hayat; CHALABI, Dounia; DENDANI, Hanna; DJATIT, ImeneAGIM est un effet secondaire lié à la prise de certain médicaments, définit cliniquement par une augmentation de volume gingival qui se traduit par une atteinte de parodonte superficiel. Les principaux médicaments peuvent être devisés en 3 catégories : Les anticonvulsivants, les inhibiteurs calciques, ciclosporine A. Ces patients sont généralement polymédiqués ,et leurs l’état de santé nécessite une prise en chargeen concertation avec le médecin traitant. AGIM peut être l’origine de douleurs, de gêne fonctionnelle et esthétique importantes, le traitement de ces lésions va permettre aux patients d’assurer une situation saine et confortable à laquelle le praticien doit être en mesure de répondre.Item Alvéolites : Approches thérapeutiques(Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou Faculté de Médecine, 2018-07-02) MAHIOUT, Louiza; MALKI, Akila; MEDANE, Fatma; MEDANE, Yasmina; OULD SAADA, CyriaLes alvéolites sont les complications post extractionnelle les plus fréquentes, ce sont des affections caractérisées par l’altération du processus cicatriciel. Leurs étiopathogénies n’est encore que partiellement connue, Elles constituent un chapitre particulièrement mouvant de la pathologie buccal ; tout ou presque n’y est qu’hypothèse. La multiplicité des facteurs étiologiques explique le fait qu’il n’y ait pas de codification de leur traitement. C’est dans ce cadre que nous avons initié notre travail basé sur deux protocoles, le 1er consiste en l’application d’un pansement intra-alvéolaire (Baneocin et l’eugénol), le 2ème en l’administration de Cetraxal sous sa forme de gouttes auriculaires. Nous avons réalisé une étude épidémiologique prospective, sur un échantillon de 41 patients présentant des alvéolites dont 18 de sexe masculin, 23 de sexe féminin, l’étude concerne les localisations maxillaires (18) et mandibulaires (23), avec 06 patients qui ont une pathologie générale associée. Nous avons observé une cicatrisation défavorable chez 14,6% des cas, il est difficile de mettre cela sur le compte d’une quelconque inefficacité du produit. Dans ce travail nous nous étions assignés comme second objectif à mettre en évidence la relation entre l’évolution de la cicatrisation et les critères d’études (âge, siège d’extraaction, état général). Lors de notre étude analytique on a conclu que seul l’état général pourrait influencer l’évolution de la cicatrisation. En effet la mauvaise cicatrisation observée, peut être attribué entre autre aux pathologies générales associées (66,7% des patients malade n’ont pas cicatrisé). En raison des bons résultats obtenus avec les deux protocoles sur nos patients ; nous proposons leur utilisation en cas d’alvéolites post-extractionnelle. Donc par conséquent, il serait judicieux de les inclure dans l’arsenal pharmacologique du service.Item APHTOSE BUCCALE : Démarche diagnostique et solutions thérapeutique(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2019-07-01) AMOUR, Louiza; BEGGAR, Zineb; HIDOUCHE, Amina; SADOUKI, Amina; SIAD, ManelBien que sans gravité au point de vue général, l est une affection de la muqueuse buccale qui affecte de façon importante la qualité de vie des patients. Si le diagnostic est le plus souvent évident à l’examen clinique ; l’interrogatoire et les examens complémentaires sont indispensables pour écarter les diagnostics différentiels et adresser si besoin aux professionnels de santé compétents. Ce travail a consisté à aborder toutes les notions scientifiques actuelles sur les aphtoses buccales en montrant l’intérêt que représente d'être vigilant face à l’apparition d'une aphtose récidivante, qui peut orienter le diagnostic vers une maladie générale. Le traitement doit mettre un terme à une aphtose devenue handicapante et évite l’évolution de la pathologie à des stades précoces en prévenant des conséquences plus sombres. Un travail clinique, réalisé au niveau du service de pathologie bucco-dentaire CHU Tizi Ouzou, sur quelques cas cliniques a permis d’illustrer et de décrire certaines formes de l'aphtose buccale, et de proposer un plan de traitement adéquat pour chaque cas cliniqueItem Apport de la chirurgie parodontale aux traitements du sourire gingival(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2018-07-04) BOUDJEMA, Lina; BAOUALI Mohamed, Rafik; DENDANI, Sihem; DIAF, LiliaLe sourire gingival (SG) est caractérisé par une exposition gingivale exessive lors du sourire, il est donc considéré comme disgracieux et inesthétique.Le SG constitue un motif de consulatation fréquent au cabinet dentaire.Différentes techniques de la chirurgie plastique parodontale s’offrent au parodontiste pour améliorer le SG on citera :la gingivectomie, le lambeau déplacé apicalement et le repositionnement labial . Selon l'étilogie du SG l'indication d'une de ces techniques peu être possée.Les résultats obtenus sont assez satisfaisants pour le patient et pour le praticien.Item Apport de la parodontie a la prothèse(Université Mouloud Mammeri FACULTE DE MEDECINE TIZI OUZOU, 2020) MERABTENE, SONIA; SAIDI, YASMINA; ALMABOUADA, SORAYA; CHAIB, LYDIA; SAIDOUN, YASMINEL’insertion d’un élément prothétique implique des interactions avec les tissus environnant, en premier lieu parodontaux pour cela la relation entre la prosthodontie et la parodontie est intime et inséparable. Les tissus de soutien parodontaux/péri-implantaire robuste constituent des bases solides pour une thérapie prothétique prévisible et pérennes . En outre, le rétablissement des conditions parodontales stables doit être reposé sur l’établissement de type de contacte et d’un schéma occlusal approprié, ainsi que sur une prothèse de qualité. Des communications fréquentes et efficaces sont essentielles entre les parodontistes et le prosthodontistes tout au long des procédures des traitement, y compris le plan, les procédures de traitement et l’entretien, puisque les deux spécialités partagent un objectif commun : créer une esthétique agréable avec un système stomatognathique harmonieux.Item APPORT DES ANTI-INFLAMMATOIRES EN CHIRURGIE BUCCALE(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2019-06) AOUCHAR, SARAH; AZZI, RIMA; BACHATENE, KHEDOUDJA; TALAH, LYSAEn chirurgie buccale, les interventions sont très fréquemment associées à un processus inflammatoire post opératoire, celui-ci comprend plusieurs phases successives qui aboutissent à la cicatrisation. Bien qu'il soit bénéfique, il est aussi responsable des signes cliniques suivants : œdème, douleur, trismus, qui peuvent être contrôlés et réduits par l’utilisation des anti-inflammatoires, ces derniers permettent ainsi de limiter et d’améliorer les suites postopératoires mais pas de les supprimer entièrement, car elles sont soumises à une grande variabilité inter et même intra-individuelle et leur importance ne peut être prédite avec certitude. Au vu de la relative innocuité,de la sécurité d’emploi et de l’efficacité démontrée des anti-inflammatoires aux posologies employées et à court terme ; Leur utilisation en chirurgie buccale est parfaitement indiquée et recommandée. Les différents produits évoqués dans ce travail ont montré des degrés d'efficacité divers, nous avons pu constater que les anti-inflammatoires enzymatiques ont une activité très modeste mais sont d'un recours utile en association à d’autres thérapeutiques. Les AINS quant à eux sont essentiellement prescrits dans notre discipline pour leur action antalgique. Les corticoïdes sont utilisés pour la prévention et la réduction de l’inflammation (œdème, trismus). Leur supériorité sur les AINS dans ce domaine a été clairement démontrée. En revanche, leur prescription ne doit pas être systématique. Elle doit être réservée pour les interventions chirurgicales traumatiques. Malheureusement, l’anti-inflammatoire idéal ne semble pas encore exister puisque aucune classe thérapeutique seule ne peut gérer au mieux l’œdème, la douleur et le trismus et ne pas occasionner à la fois d’effets secondaires. Il est aussi à noter le manque d’études évaluant les effets dose-dépendants des antiinflammatoires ainsi que l’absence de consensus sur le choix de la molécule, de la dose et de la voie d’administration à utiliser. L'avenir devrait voir se développer d'autres études qui devraient idéalement être comparables et basées sur une méthode fiable de mesure des suites post opératoires, ce qui permettrait d’établir une utilisation optimale des anti-inflammatoires et de donner une vision d'ensemble pratique et représentative du panel thérapeutique mis à notre disposition. Ceci nous servirait de guide clinique pour déterminer le type, la voie d'administration et la dose minimale efficace de l’anti inflammatoire à employerItem Articulateurs semi adaptables(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2019-06-24) MOKEDDEM, Merzouk; AMIRI, Ouzna; OUDELKI, Lounes; AISSAOUI, KhaoulaL'intégration fonctionnelle et occlusale des prothèses réalisées, le confort manducateur retrouvé par les patients, mais aussi la facilité de réalisation pour le praticien comme pour le prothésiste sont les conséquences naturelles de l'utilisation d'un articulateur semi adaptable. En effet, son utilisation est incontestablement indispensable au bon déroulement du diagnostic et de toutes les étapes de la réalisation prothétique.Item Biotype gingival : bases et conséquences cliniques(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2019-06) KACI, Rym; NACER BEY, Hayet; TELLEACHE, Nouara; TOUDERT, ChahinezLe biotype gingival fut introduit par Ochsenbein et Ross en 1969 qui le définisse comme étant la dimension gingival dans le sens facio-palatal / lingual. Il existe alors deux biotypes gingivaux : Le biotype gingival fin et festonné qui se caractérise par une épaisseur <1,5 mm et un autre épais et plat dont l’épaisseur gingival est >1,5mm, Plusieurs techniques ont été utilisées à fin de le déterminer ; la technique de mesure directe reste celle qui allie le mieux accessibilité et pertinence. Le biotype influe sur la réponse du parodonte face aux agressions, Plus la gencive est fine moins elle sera résistante à l’inflammation, aux thérapeutiques chirurgicales et non chirurgicales, aux traitements orthodontiques…etc. Un biotype gingival fin est donc dit à risque car il est plus susceptible de développer certain défauts mucogingivaux et peut même être à l’origine de l’échec de la thérapeutique dentaire. La chirurgie mucogingivale permet de corriger le biotype fin en le renforçant et en créant une anatomie mucogingivale compatible avec la santé parodontaleItem CCM,CCC,évolution et critéres de choix(Université Mouloud MAAMRI FACULTE DE MEDECINE, 2017-07-03) BOUAZOUNE, Amira; MOKHEFI, Rahima; NAAMAOUI, ImeneQue ce soient pour les alliages métalliques aux propriétés bien connues et utilisées depuis plusieurs décennies en prothèse dentaire mais qui ont comme principal défaut leur opacité, ou pour les nouveaux matériaux à base de céramique qui tendent à se développer de plus en plus avec le développement de la Conception et Fabrication Assistée par Ordinateur, le choix pour le praticien est varié. Il faudra prendre en compte tous les critères pour déterminer le système (CCM/CCC) à utiliser : - les propriétés mécaniques que devront satisfaire les armatures (niveau antérieur ou postérieur) ; - les matériaux déjà présents en bouche pour éviter tout risque d’allergie, de bimétallisme pour le patient ; - l’espace occlusal et prothétique disponible ; - les critères esthétiques pour effectuer une "restauration invisible" ; - le coût. Les nouveaux matériaux céramiques tendent en plus un net avantage esthétique, mais les alliages présentent les meilleures propriétés mécanique et comme les situation cliniques varient entre celles qui exigent l’esthétique et celles qui exigent la fonction, il ne s’agit pas d’opposer les CCM aux CCC ; ce sont deux concepts complémentairesItem CHOIX DES DENTS À EXTRAIRE EN ORTHOPÉDIE DENTO-FACIALE(Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou Faculté de Médecine, 2017-07-04) BOUAFIA, Ouafi; BRAHAMI, Abdennour; HANSAL, Celia; BOUKHALFA, DihiaL’intérêt de ce travail est de présenter un diaporama sur les différentes indications des avulsions en orthopédie dento-faciale, le choix des dents à extraire, ainsi que le moment opportun pour l’envisager. Il s’agit ensuite de les intégrer dans un plan de traitement individualisé et bien réfléchi permettant de guider le praticien dans sa pratique quotidienne et d’atteindre ses objectifs de traitement. Les extractions trouvent leurs indications dans le traitement de plusieurs anomalies osseuses, alvéolaires et dentaires, En effet, les extractions permettent de traiter la DDM en denture mixte et en denture adulte, la DDD, la biproalvéolie en rétractant les incisives en protrusion exagérée. Elles permettent également de mésialer les molaires, de "camoufler" des anomalies squelettiques, telles que ; la Classe II ou III modérées ou les béances, de traiter les agénésies, les inclusions, l’asymétrie d’arcade. Il n’est plus à démontrer l’importance des extractions, qui quand elles sont bien indiquées, donnent d’excellents résultats non seulement sur la correction de la malocclusion mais aussi sur les volets esthétique et fonctionnel. Ainsi, les extractions constituent souvent la seule option thérapeutique quand le sujet est en fin de croissance ou quand la croissance résiduelle ne permet pas de corriger l’ampleur de la malocclusion. De plus, elles peuvent être intégrées dans un protocole orthodontico-chirurgical qui représente, parfois, la seule alternative pour atteindre les objectifs de fin de traitement. Le choix du traitement avec extraction et celui des dents à extraire ne devrait se faire qu’après une démarche diagnostic complète avec examen clinique et examen complémentaire en prenant en considération les effets qu’occasionnent les extractions sur la sphère oro-faciale, l’âge du patient, sa motivation, ses exigences et la particularité de chaque cas. Depuis Angle, aucune méthode thérapeutique sans extraction n’est parvenue à s’imposer d’une façon décisive. Car, malgré l’évolution de l’orthodontie, les praticiens se trouvent souvent affrontés à des cas nécessitant des extractions. Cela devrait nous inciter à douter qu’on puisse renoncer totalement à l’indication thérapeutique d’avulsions de dents permanentes. (Amat, 2014). Au final, un bon orthodontiste ne doit être ni extractionniste, ni conservateur, mais un spécialiste dans la gestion de l’espace. Si la transformation phylogénique tend à réduire le capital dentaire (volume et nombre des dents), pourquoi devrons-nous nous priver des extractions pour traiter les dysmorphoses de nos patients ? ; bien évidement quand cela s’avère nécessaire. À ce stade, une question se pose : les nouvelles thérapeutiques et approches interceptives et préventives arriveront-elles un jour à détrôner les extractions en orthopédie dento-faciale ?« Plus j’apprends moins je sais ! Je sais que je ne sais rien, mais je le sais ! », Socrate.Item Cicatrisation post extractionnelle : étude des cas cliniques et prise en charge au service de pathologie bucco dentaire du CHU de TiziOuzou(Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou Faculté de Médecine, 2018-07) AIT OUALI, Wassila; ALLEK, Loubna; BEN BELKACEM, Tassadit; BRAIK, RymaEn odontostomatologie la cicatrisation s’effectue dans des conditions particulières comme déjà exposé, celle-ci peut être entravée ou retardée sous l'influence de divers facteurs. D’après les résultats de notre étude épidémiologique et devant la diversité des pathologies rencontrées au cours de nos stages hospitaliers, aux quels tout praticien peut être confronté, on a pu confirmer l’influence de certains facteurs notamment l’état général, quelques habitudes toxiques liées au malade ainsi que la maitrise du geste chirurgical (avulsion) par le médecin dentiste sur la qualité de la cicatrisation. Il revient donc au praticien soucieux d'éviter toutes complications post-opératoires infectieuses ou hémorragiques, de les identifier et de les prendre en compte en respectant les règles d’asepsie, les étapes de l’acte et les bons conseils postopératoires qui restent indispensables afin de diminuer les délais et d’optimiser la cicatrisation tout en préservant le confort du patient.Item Concepts actuels de préparation des cavités en dentisterie adhésive(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2022-07-12) AFIRI, Ouissam; ATTAF, Nassima; BENGHERABI, Hadjer; BOUKHACHEBA, Rahil; RABAHI, Kheireddine; MATI, Sarah; LAIB, ImaneLa dentisterie à minima est une philosophie de travail visant à préserver au mieux les tissus durs dentaires. Elle a pour but de conserver leurs propriétés biomécaniques et d’être le moins invasif possible donc, de limiter l’étendue de nos restaurations lors d’une éventuelle ré-intervention. L’évaluation du risque carieux et la sensibilisation de nos patients à ces risques sont indispensables pour un succès thérapeutique. Seuls les patients à risque carieux faible pourront être candidat aux actes de micro dentisterie conservatrice. Parmi ces soins ultra-conservateurs, nous pouvons citer les préparations tunnel et slot. Elles procèdent des indications restreintes nécessitent un matériel spécifique et de suivre un protocole strict et minutieux. Cependant, elles permettent de préserver une structure d’intérêt : la crête marginale périphérique. L’introduction abordera un rappel sur la carie dentaire; La première partie exposera l’évolution des concepts thérapeutiques en dentisterie ; la seconde, les différentes phases du traitement, les matériaux et les matériels utilisés en dentisterie adhésive à minima ; la troisième, les différentes méthodes d’éviction des tissus carieux; la dernière, présentera le choix thérapeutique des lésions carieuses en fonction des sites et des stades.Item DETERMINATION DE LA DIMENSION VERTICALE D’OCCLUSION : CONNAISSANCES ET INCERTITUDES(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2018) TALEB, MASSINISSA; TOURSAL, ASSIA; SI SALAH, Med SAID; DJELLAOUI, AKLI; LATRECHE, FADHILALa dimension vertical d’occlusion doit être considérée comme un paramètre capital lors des réhabilitation de grande étendue qui s’accompagne d’une perte de DVO vue que cette dernière est la clé de la réussite qui assure une bonne intégration psychologique et fonctionnel de la prothèse dentaire par le patient ,sa détermination rigoureuse doit tenir compte d’un ensemble de déterminants qui guident le praticien pour son estimation correcte afin d’éviter les conséquences fâcheuses consécutive à une erreur de sa détermination . Le praticien doit connaitre les différents paramètres qui influencent la DVO et qui conduisent à sa variation a fin de y remédier. Cependant la littérature est contradictoire sur le sujet de la DVO à propos du quel beaucoup d’ouvrages ont été consacrés et beaucoup de questions ont été posées dont les réponses restent divergentes, malgré toutes ces publications sur ce sujet des mythes et des floues persistent souvent profondément ancrées dans l’inconscient des praticiens. Malgré que beaucoup de questions sans réponses précises et claires et que d’autre mythes existe à propos de ce sujet, notre travail dans sa partie théorique a essayé de rapporter des éléments de réponse aux principales incertitudes liées à ce thème. Une bonne détermination de la DVO passe sans doute par le choix d’une méthode convenable a son évaluation, toute les études expérimentales qui ont été faites sur les méthodes de détermination de la DVO afin de choisir une méthode de référence pour la détermination de la DVO aucun consensus universel pour la détermination de la DVO n’a été retenu cependant on peut dire qu’il existe des méthodes plus précises que d’autres à titre d’exemple la technique céphalométrique qui manipule des chiffres et utilise des repères osseux stables est plus précise que le reste des méthodes empiriques basées sur des paramètres imprécis et non reproductibles ,cependant dans la mesure où cette technique n’est pas à la portée du patient et du praticien dans la pratique courante ,rechercher une méthode empirique de choix pour déterminer la DVO a été l’objectif de notre étude pratique qui a apporté des élément de réponse a cette problématique dont on trouvée que la méthode de choix est la technique indirect (a partir de la DVR qui est déterminée par la déglutition) par rapport à la méthode d’égalité des étages de la face.Item Etude descriptive et profil épidémiologique des affections bucco-dentaires observées au service de pathologie bucco-dentaire du CHU Tizi-Ouzou(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2020-09-29) BELGAID, Amel; BENTARZI, Naima; BOUDJEDAR, Amel; SAAD, HamidaLes pathologies de la sphère cervico-faciale regroupent des entités très variées dont on a divisé en 3 principaux groupes : les pathologies infectieuses, les pathologies traumatiques et les pathologies tumorales. Dans le but de déterminer les pathologies les plus fréquentes, une étude de type descriptive a été menée sur les différentes pathologies rencontrées au service de pathologie bucco-dentaire du CHU Nedir Mohamed de TiziOuzou du 15 Janvier 2020 jusqu'au 12 mars 2020, elle a été interrompue par la pandémie du covid 19. Elle a été portée sur un échantillon de 216 patients de different âges dont l'âge moyen était de 30ans, et les deux sexes dont le sexe féminin était le predominant avec un sexe ratio de 1,57 en faveur des femmes. On a reçu aussi des patients présentant des maladies générales associées. La plupart des pathologies surviendraient à un âge jeune, la classe d’âge de20 à 29 ans a été la plus déterminante. Au sein du service de pathologie et chirurgie buccales, les cellulites cervico-faciales représentent une pathologie assez fréquente et variée par leur formes cliniques, cette fréquence élevée est fonction de la fréquence des affections dentaires, en particulier des dents mortifiées, point de départ des complications locales, locorégionales et générales. La prise en charge médico-chirurgicale comprend essentiellement l’élimination du foyer infectieux dentaire. Si la preuve est donnée par différents auteurs qu’un traitement bien conduit et appliqué précocement est susceptible d’améliorer le pronostic, il n’en demeure pas moins que le meilleur traitement reste préventif. La prévention passe par tous les moyens de prévention de la carie et un examen odontologique régulier qui permet de diagnostiquer les lésions dentaires et de les traiter précocement afin d'éviter l'installation de complications.Item Evolution des brackets en Orthopédie Dento-Faciale(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2019-06-18) Benrejdal, Yala; Bouberaouet, Bachira; Boudina, Abderrahmane; Boukhetaia, RandaDans le domaine de la médecine dentaire, les dernières décennies ont été riches en matière de recherche et de la mise en point de technologies supérieures. Non seulement ces nouvelles avancées facilitent le travail des dentistes mais elles rendent l’expérience des patients beaucoup plus agréable. Les fabricants continuent fortement à investir dans la recherche et lancent constamment des produits qui s’approchent le plus de la qualité idéales désirées par les professions dentaires car ils leur offrent de plus grande précision dans leur travail. Les technologies récemment développées en dentisterie permettent entre autre d’accélérer certaines procédures réduisant ainsi à la fois le nombre de rendez-vous et la durée de l’inconfort, elles permettent une plus grande précision dans le travail des dentistes, elles aident à diminuer le temps de guérison, enfin octroient aux différentes restaurations une apparence plus esthétiqueItem Évolution des Ponts Dentaires dans le Temps(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2020-06-29) BABACI, Meriem; BEKAL, Asma; DICHOU, Dassil; GUERFI, KarimaLes ponts dentaires sont des artifices relativement complexes, leur réalisation exige une parfaite maîtrise et d’excellentes connaissances théoriques ; les objectifs thérapeutiques à atteindre sont nombreux, non seulement il faut restituer une esthétique perdue, rétablir les différentes fonctions physiologiques, tout en s’assurant de la pérennité de la restauration. Actuellement, ils ont prouvé leur efficacité en matière d’esthétique, de biocompatibilité et de résistance mécanique et s’intègrent doucement dans la pratique quotidienne au cabinet dentaire. La réussite du traitement repose inévitablement sur l’étroite collaboration entre le médecin dentiste et le technicien prothésiste, mais aussi celle du patient. Les ponts céramo-céramiques n’ont cessé d’évoluer et remplacent petit à petit les ponts céramo-métalliques. Cependant, ces derniers restent toujours d’actualité et présentent un large champ d’indications. L’avènement de l’implantologie et l’évolution sans cesse des biomatériaux repoussent encore et encore les limites des ponts dentaires, les nouvelles technologies comme la CFAO ou bien les empreintes optiques ne font que rapprocher les ponts de la perfection, eux qui au début du 20ième siècle aux États-Unis étaient considérés comme ‘’révolus’’. A l’heure actuelle, la meilleure solution thérapeutique d’un édentement dentaire partiel semble représentée par les ponts implanto-portés en raison de leur faible coût biologique, critère élémentaire de toutes les pratiques médicales depuis l’aire d’Hippocrate 410 Avant J.- C qui enseignait à ses étudiants l’un des principes de base de la médecine « Primum non nocere » ce qui signifie, d’abord ne pas nuire. De nos jours, de études innovatrices dans le domaine de la médecine régénérative sont menées ayant comme objectif la reconstruction de dents endommagées grâce aux cellules souches prélevées des dents lactéales, et pourquoi ne pas s’en servir un jour dans la régénération d’organes dentaires entièrement fonctionnels dans le respect absolu des principes d’économies tissulaires.Item Exposition gingivale excessive : quelle(s) procédure(s) thérapeutique(s) choisir ?(Université Mouloud MAMMERI Faculté DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2020-09-27) Didaoui, Imane; Bouaridj, Dyhia; Illoul, LydiaL’exposition gingivale excessive lors du sourire peut dans certains cas le rendre déplaisant. Sa correction devient alors un véritable challenge thérapeutique exigeant une démarche globale rigoureuse. D’origine plurifactorielle, l’exposition gingivale excessive disgracieuse, ne peut être traitée avec succès qu’après un diagnostic esthétique et étiologique approfondi, duquel découlera le traitement le mieux adapté. Il existe trois grandes catégories de causes à l’origine d’un sourire gingival, celles-ci pouvant d’ailleurs se combiner entre elles ; alvéolo-squelettique, dento-parodontale, labio-musculaire. La thérapeutique souvent complexe, sous-tend à partir d’un projet esthétique et fonctionnel validé par toutes les parties, y compris du patient dûment informé, un travail d’équipe dont l’organisation incombe au chirurgien-dentiste. La prise en charge du sourire gingivale est généralement pluridisciplinaire, nécessite une étroite collaboration entre les différentes spécialités de la chirurgie buccale, de l’orthodontie, de la parodontie et de la prothèse mais aussi de la chirurgie esthétique et maxillo-faciale. Selon l’étiologie, il s’agira de chirurgie orthognatique, orthodontie, élongation coronaire, chirurgie de repositionnement labial, thérapeutique prothétique, laser, Botox auquel viendront s’associer le plus souvent, des traitements complémentaires (traitements conservateurs, injection d’acide hyaluronique…). En tant qu’architecte du sourire, l’objectif final du praticien étant une intégration harmonieuse du sourire au sein du visage, rendant ainsi aux patients le plaisir de sourire, de se regarder, de plaire, de communiquer, de rire en société. Ces plaisirs se caractérisent notamment par l’épanouissement et le bien-être de nos patients, faisant toute la beauté de notre métierItem Facettes dentaires en céramique(Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou Faculté de Médecine, 2016) Ayache, Meriem; berkat, hamimi; Kara, Amina; Zamoum, karimaUne partie importante de la population exprime actuellement un désire marqué de présenter des dents d’une esthétique aussi parfaite que possible. Les patients bien informés préfèrent des modalités de traitement mini-invasives et dans bien des cas, ne souhaitent pas des couronnes à recouvrement complet des dents naturelles. Ces patients exigent des méthodes thérapeutiques ménageant des tissus durs, mais sans accepter des compromis en matières du potentiel esthétique. Les facettes céramiques scellées par technique adhésive permettent de réaliser chez de nombreux patient une thérapie médico-dentaire esthétique, tout en ménageant la substance dentaire naturelle ; parmi les indications il y a lieu d’évoquer notamment des dents antérieures présentant des dyschromies, des caries ; des fractures, des dysplasies ou des mal positions, permettant d’éviter dans bien des cas des préparations pour des couronnes à recouvrement complet. L’esthétique exceptionnelle, l’aspect identique aux dents naturelles et le guidage parfait de la lumière des facettes céramiques sont des avantages étayés encore sur le plan fonctionnel par les résultats des études cliniques à long termes. Ces facettes peuvent être recommandées pour l’application en pratique quotidienne, à condition de respecter les propriétés spécifiques aux matériaux mis en œuvre, que ce soit pour poser l’indication lors de la préparation et de la réalisation au laboratoire ou encore lors du scellement par technique adhésive.Item Facettes en céramique du secteur incisivo-canin supérieur(Université Mouloud Mammeri FACULTE DE MEDECINE TIZI OUZOU, 2021) OUKAKI, FERROUDJA; MERICHA, CHAIMAA; AMAROUCHE, YUVA; OUMAHAMMED, FATMA; SI AHMED, GHANIADans notre société actuelle, l‟esthétique détient une place importante, la population est sans cesse à la recherche du « modèle parfait ». Cette demande est également exprimée dans la discipline dentaire, qui se traduit pour nos patients par le souhait d‟obtenir un sourire aussi parfait que possible. La facette semble donc trouver sa place au sein d‟une dentisterie conservatrice et esthétique même si elle ne correspond pas aux premières étapes du gradient et que souvent cette thérapeutique n‟est pas utilisée en première intention. Les traitements prothétiques par facettes céramiques collées sont devenus fiables pour des situations cliniques simples ou complexes grâce aux évolutions très importantes des 20 dernières années. Nombreuses sont les études qui rapportent des taux de succès de plus de 95% après 10 ans. Les préparations pour facettes permettent de respecter sans risque les principes essentiels d‟économie tissulaire (préparation de la dent à minima, respect de la vitalité pulpaire). Les facettes constituent ainsi un traitement de choix pour les dents antérieures présentant des altérations coronaires ou des malpositions qui peuvent être inesthétiques. Elles concernent des situations cliniques spécifiques : délabrement dentaire peu important, rapports occlusaux non traumatiques, hygiène orale satisfaisante et absence de pathologie parodontale. Malheureusement nombreux sont les praticiens qui n‟osent pas s‟attaquer à ce type de traitement en raison des difficultés rencontrées lors du collage. Il est vrai que cette étape fondamentale est très « praticien dépendante » mais très fiable et sécurisante si les critères également validés par de nombreuses études sont scrupuleusement respectés.De plus, la réalisation de ces traitements conservateurs peut aujourd‟hui être facilitée par des procédés CFAO (conception et fabrication par ordinateur appliquées à l‟odontologie). Les facettes composites représentent aujourd‟hui une alternative thérapeutique envisageable bien qu‟elles soient moins intéressantes en termes de durée de vie et de résultat esthétique.