Etude anthroponymique de deux régions Tizi Gheniff et Mâatkas
dc.contributor.author | Nekiche Hanane | |
dc.contributor.author | Hassani Sadjia | |
dc.date.accessioned | 2025-04-16T07:57:39Z | |
dc.date.available | 2025-04-16T07:57:39Z | |
dc.date.issued | 2024 | |
dc.description | 89p. ; 30 cm.(+CD-Rom) | |
dc.description.abstract | Notre travail de recherche s’inscrit dans le domaine de l’onomastique, plus précisément dans sa branche de l’anthroponymie, qui consiste à étudier les noms de familles, leur étymologie et leurs formations, nous avons récoltés 250 d’anthroponymes dans les deux régions Tizi Gheniff et Mâatkas , et pour l’analyser nous avons choisi deux approches : morphologique et sémantique. Dans le premier chapitre, nous avons abordé l’analyse morphologique ; nous avons classifié les anthroponymes selon la forme, qui nous a permis de déterminer que le nombre des anthroponymes simples est élevé par rapport à celui des anthroponymes composés. Ensuite nous avons classifié ces anthroponymes selon le genre et le nombre, nous remarquons que les anthroponymes masculins majoritaires avec un nombre de (238) sur 250 équivalents de 95%, par contre les anthroponymes féminin avec un nombre de (12) sur 250 équivalents de 5%. Et concernant le nombre, nous remarquons que les anthroponymes singulier sont élevé avec un nombre (249) sur 250 équivalents de 99,6%, par contre les anthroponymes pluriel avec un nombre de (1) sur 250 équivalents de 0,4%. Nous avons également classifié les anthroponymes simples et composés selon leurs catégories grammaticales. Et nous avons conclu concernant les anthroponymes simple que les majorités sont : les noms, avec un taux de 85%, suivi par les adjectifs avec un taux de 12%, et les verbes avec un taux de 3%. Concernant aussi la catégorie grammaticale des anthroponymes composés, que le nombre de (particule+ nom) est élevée avec un nombre de (33) sur 42 équivalents de 79%, suivi par (nom+ nom) avec un nombre de (5) équivalents de 12%, après (nom+ adjectif) avec un nombre de (2) équivalents de 5%, suivi aussi par (particule+ adjectif) et (particule+ verbe) avec le nombre de (2) pour chaque ’un équivalents de 2%. Enfin ce qui concerne l’analyse de l’origine linguistique de ces anthroponymes, nous constatons que la majorité de ces anthroponymes sont arabe, avec un nombre de (159), suivie par l’origine par l’origine berbère avec un nombre de (65), et un nombre de (22) anthroponymes hybrides, le nombre de (3) anthroponymes turque, et un nombre de (1) pour les anthroponymes français. Dans le deuxième chapitre, nous avons abordé l’analyse sémantique, qui concerne à l’interprétation des anthroponymes de notre corpus, et présenter la signification, la racine et l’origine de chaque anthroponymes en référant aux dictionnaires suivants : J M. DALLET/ M.TIDJET/ M A. HADDADOU. Et nous avons aussi procédé à un classement thématique ce qui nous permet de confirmer la première hypothèse concernant les facteurs qui ont contribué à façonner les anthroponymes, qui sont : la religion, la chance, la dignité et la description morale, métier, mode de vie, la description physique, les animaux, l’autorité, la nature, la couleur, les sentiments, origines et racines. | |
dc.identifier.citation | Etude Linguistiques Amazighes | |
dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/27277 | |
dc.language.iso | fr | |
dc.publisher | Université Mouloud Mammeri Tizi-Ouzou | |
dc.subject | Anthroponymes | |
dc.subject | Onomastique | |
dc.subject | Analyse morphologique | |
dc.title | Etude anthroponymique de deux régions Tizi Gheniff et Mâatkas | |
dc.type | Thesis |