Etude et réalisation d’un distillateur solaire avec stockage d’énergie

dc.contributor.authorMessaoudene, Souad
dc.date.accessioned2021-06-07T09:15:42Z
dc.date.available2021-06-07T09:15:42Z
dc.date.issued2018-09-01
dc.description111 f. : ill. ;30 cm. (+CD-Rom)en
dc.description.abstractDans cette étude, le composite paraffine/perlite/graphite est préparé comme un matériau de stockage d’énergie thermique à forme stabilisée pour des applications de stockage d’énergie, et en particulier dans un distillateur solaire. Ce composite a été préparé par la méthode dite de mélange de poudre de perlite et de graphite avec le MCP (paraffine). Ce composite est placé autour de la marmite et sous l’absorbeur pour absorber l’énergie thermique provenant du rayonnement solaire incident ou des lampes (infrarouge 120w et lampe à 200w). Et ce travail a visé principalement le distillateur solaire conventionnel, ce dernier est basé sur le principe de l’effet de serre. Le distillateur se compose de deux éléments principaux (évaporateur et condenseur), une couche noire absorbante et d’un couvert transparent en verre ordinaire .Ce dernier est composé de : la conception et la réalisation d’un prototype à faible coût destiné surtout pour les communautés rurales et pauvres. Par ailleurs, une série de mesures expérimentales à lieu durant le mois de novembre qui a une faible intensité du rayonnement solaire alors on a procédé aux tests par les lampes (infrarouge 120w et lampe à 200w). Les variations des températures nos suggèrent à dire que la production d’eau distillée dépend évidemment de l’énergie solaire incidente et aussi de la surface absorbante et principalement de la surface d’échange entre l’absorbeur et la marmite. Le constat qui a été fait est que les conditions pour réussir l’opération de distillation n’étant pas réunies avec la faible intensité de rayonnement solaire. Le remplacement du rayonnement solaire par celui d’une lampe infrarouge doit se faire sur un verre sélectif qui laisse passer le rayonnement de la lampe, ce qui n’a été pas le cas avec le verre thermique utilisé. On a, par exemple constaté que le verre servant de couvercle du distillateur monte très haut en température (95 °C) alors que l’eau de distillation ne pouvait atteindre que 60 °C. On peut cependant retenir les recommandations suivantes : .avec tous ces imperfections et résultats obtenus par les tests expérimental on propose : D’effectuer les tests dans les périodes de chaleur sous un rayonnement solaire intense. Une pompe à vide est nécessaire pour aspirer la vapeur produite dans le test par rayonnement solaire. Ceci permet de baisser la température de changement de phase de l’eau et un gain en énergie de chauffage. Choisir un verre qui est perméable à la totalité des radiations et qui n’absorbe pas de la chaleur (sa température ne doit pas augmenter). Et pour les résultats obtenus, on invite les promotions qui vont suivent à prendre en compte ces inconvénients pour améliorer les performances du prototype réalisé.en
dc.identifier.citationEnergétiqueen
dc.identifier.otherMST/ENERG233
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/13394
dc.language.isofren
dc.publisherUMMTOen
dc.subjectGisement solaireen
dc.subjectDistillateur solaireen
dc.titleEtude et réalisation d’un distillateur solaire avec stockage d’énergieen
dc.typeThesisen

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