Devenir des édifices religieux de culte non-musulman des XIXème et XXème siècles
dc.contributor.author | Nessark, Naouel | |
dc.date.accessioned | 2017-04-26T10:20:03Z | |
dc.date.available | 2017-04-26T10:20:03Z | |
dc.date.issued | 2014-11-30 | |
dc.description | 153 f. : ill. ; 30cm. (+CD-Rom) | en |
dc.description.abstract | Résumé Matérialisant le sacré, les édifices religieux ont de tout temps, joui d’un intérêt particulier. Recouvrant le symbolisme architectural et les pratiques socioculturelles, ils sont les plus illustres témoins de l’histoire d’une nation. En tant que lieux de production et de condensation de mémoire, ils sont vénérés, respectés et hissés au rang de monuments sauvegardés, dans toutes traditions religieuses vivantes. Mais également bannis et sujettes à des reconversions dès que les valeurs socioculturelles qu’ils véhiculent disparaissent. Hérité essentiellement des occupations antérieures, l’Algérie, à l’instar de nombreux pays méditerranéens, recèle un patrimoine cultuel riche et nuancé. A ce titre, les édifices religieux de culte non-musulman notamment ceux érigés aux 1 9ème et 20ème siècles, constituent une part non négligeable. En effet, au lendemain de l’indépendance, l’Algérie a hérité de près de 600 édifices cultuels. Ayant presque perdu tout rôle socioculturel, ces édifices ont en majeur partie, subi des opérations de reconversions et/ou réappropriations. Très présents aujourd’hui encore, ces édifices ont substantiellement contribué au façonnage du paysage urbain de nos villes ; à l’instar de Notre Dame d’Afrique d’Alger, du Sacré Cœur d’Oran ou encore de Saint Augustin d’Annaba. Aujourd'hui, hormis quelques opérations de restauration visant quelques édifices, ce legs à valeurs supranationales, demeure marginalisé et ne représente qu’à peine 2% des biens culturels protégés. Ce constat nous a poussés à s’interroger sur son état de conservation et son devenir. Ce travail de recherche s’inscrit dans une optique de vulgarisation et de préservation des valeurs de ce legs. Pour se faire notre choix s’est porté sur la ville d’Alger au regard non seulement du nombre d’édifices qu’elle renferme, mais également de leurs diversités cultuelles et typologiques. L’identification de ces monuments à travers leurs recensements afin de leurs assurer une meilleure conservation et une insertion dans le parc patrimonial national, est notre principal objectif. Mots clés : Edifices religieux, culte, devenir, conservation, identification. 19ème et 20ème siècles. | en |
dc.identifier.citation | Architecture et Patrimoine | en |
dc.identifier.other | PG037 | |
dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/820 | |
dc.language.iso | fr | en |
dc.publisher | en | |
dc.subject | Edifice religieu | en |
dc.subject | Patrimoine architectural | en |
dc.title | Devenir des édifices religieux de culte non-musulman des XIXème et XXème siècles | en |
dc.type | Thesis | en |